La ville socialiste de Rennes qui affiche un taux de violence sexuelle (1,6 pour 1000 habitants) équivalent à celui de Paris alors qu’elle ne compte que 215 000 habitants, affectionne la théorie du genre et les contribuables locaux sont forcés de suivre.
Cette ville bretonne vient de créer une discrimination du 3e type : elle bonifie les subventions accordées aux clubs accueillant des sportifs non « binaires ».
Certaines associations se sont déjà précipitées dans la brèche comme le Cercle Paul-Bert, l’une des plus grosses structures sportives de la ville (13 700 adhérents).
Dans la novlangue LGBT (LGBT = Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres), la dénomination « non binaire » désigne les personnes qui ne se sentent ni homme, ni femme, mais un peu des deux, d’après une combinaison variable selon chaque individu.
Le 18 septembre dernier, la municipalité a décidé que les associations sportives devront indiquer le sexe («genre») revendiqué par leurs pratiquants quand elles déposent une demande de subvention.
En pratique, la nouvelle grille de coefficients accorde davantage de points aux « non-binaires » et aux femmes qu’aux hommes, un sexe que les minorités woke voue aux gémonies.
Cette inquisition sexuelle, présentée comme une « discrimination positive », démarre le jour de l’inscription des enfants.
La catégorie garçon ou fille a disparu.
Elle est remplacée par une catégorie « Genre » proposant des cases « Non-Binaire majeur » et « Non-Binaire mineur » en sus des traditionnelles « Femme majeure », « Femme mineure », « Homme majeur » et « Homme mineur ».
Des parents se sont émus de voir ce déclaratif imposé à leurs enfants.
Ils redoutent que la promotion de cet éventail de choix (sans valeur juridique) à des enfants pollue la perception naturelle de leur signature biologique.
« La non-binarité est une réalité dans notre société, qui est minoritaire, mais nous ne devons pas l’invisibiliser », se défend Frédéric Bourcier, le conseiller municipal délégué aux Sports.
La municipalité envisage même une « adaptation des clubs en fonction de ce déclaratif ».
Dans quelques années, on peut donc imaginer des clubs de sport ou des équipes non-binaires affronteront des équipes binaires avant de regagner des vestiaires « genrés ».
Selon un de vos confrères, à Rennes, un enfant « non binaire » vaut 2 fois une femme et 4 fois un homme. On marche sur la tête.
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