La politique internet de la Ville de Paris est une pétaudière : selon le conseiller d’opposition Paul Hatte (groupe Changer Paris) la Ville a acheté 554 noms de domaine au fil du temps sans jamais faire le ménage.
Aujourd’hui beaucoup sont inusités ou renvoient vers des contenus périmés.
Ainsi, 74 % des sites internet dont la Ville est propriétaire seraient dormants ou morts, la municipalité continuant à payer pour les renouveler d’une année sur l’autre, sans distinguer ceux qui servent à quelque chose des autres.
Dans le détail, l’élu a constaté que 249 sites renvoient vers celui de la mairie de Paris, paris.fr, un peu comme si la façade d’une maison comportait 249 ouvrants débouchant sur la même pièce !
Parmi les plus beaux exemples d’empilement, on trouve des noms de domaine comme blogvelib.com, nuitnoire.paris ou encore mai-68.paris qui renvoie sur un lien périmé.
Autre preuve de laisser-aller, le nom de domaine enquetepublique-millearbres-paris.net qui fait écho à une consultation close en… 2019.
Certains sites "oûtent six fois plus cher, avec le renouvellement inutile de toutes les extensions comme wifi-paris.fr, wifi-paris.info, wifi-paris.org, paris-wifi.fr, etc., tous payés pour n’aboutir sur rien", ajoute Paul Hatte.
D’autres adresses, renvoient vers des lointains futuristes comme le site paris2036.org, régulièrement renouvelé, au cas où la Ville veuille infliger de nouveaux JO aux Parisiens d’ici 13 ans !
Selon la mairie, des centaines d’adresses et leurs variantes auraient été acquises pour empêcher qu’un nom de domaine similaire soit lancé à des fins malveillantes.
Cette précaution n’empêche pas de passer un coup de balai, car l’empilement de tous ces noms obsolètes coûte cher.
Selon l’entourage d' Anne Hidalgo, " Paris bénéficierait d'un forfait pour l'ensemble de son portefeuille via l'attribution d'un marché public ".
Dans un article récent du Figaro, l’un des conseillers en communication de la maire socialiste Anne Hidalgo estimait le budget alloué à ces noms de domaine " (…) à près de 38.000 euros sur 24 mois ".
Cette estimation laisse sceptique. Par exemple, la propriété de la marque Autolib, un service à l’arrêt depuis 2018, aurait coûté 70 000 euros aux contribuables parisiens, alors qu’il renvoie vers une coquille vide, estime notamment le groupe Changer Paris.
Comment guérir l' addiction aux dépenses d'Anne H ?
Les thérapies principales sont :
Un traitement anti-dépresseur si l'addiction au shopping est accompagnée d'une dépression ou d'une forte anxiété ;
Une psychothérapie (classique ou une Thérapie Cognitivo-Comportementale ou TCC) ;
Des séances de sophrologie ou de relaxation (méditation pleine conscience) ;
L'hypnose (avec réveil en fin 2026 MDR )
Scandale payer pour des choses inutiles !!! C’est prendre les français pour des imbeciles !!! Et ça se dit socialiste !!! Gauche caviar oui !!!
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