Des rémunérations mirobolantes largement abondées en argent public, via les organismes paritaires où siègent où ont siégé les deux syndicalistes : Sécurité sociale, caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de Meurthe-et-Moselle, caisse des allocations familiales (CAF), Urssaf et caisse d’assurance retraite et de santé au travail (Carsat). En effet, ces organismes sociaux remboursent aux employeurs les heures que les représentants syndicaux passent dans les différentes instances.
Les syndicats cogèrent 130 milliards d'euros de budgets sociaux chaque année, de quoi se servir sur la bête…
Selon l’avocat de la CPAM cité par l’hebdomadaire, Caroline Tykoczinsky a « exagéré les déclarations [d’heures passées à siéger dans les instances, ndlr] pour gonfler les remboursements » de la Sécurité sociale à la CFTC. Un nouvel exemple des méfaits du paritarisme…
L’Institut d’administration des entreprises (IAE) de Paris a chiffré, dans une étude de 2014 sur le financement des syndicats, à 74% la part des subventions – autrement dit, l’argent de vos cotisations et impôts – dans les ressources de la CFTC, contre 13% pour les seules cotisations… (Voir l’article « Syndicats : entre 22 % et 81 % de subventions publiques »)
De quoi remettre en doute la représentativité et la légitimité de ce syndicat, et des autres aussi, d’ailleurs…
Avec Contribuables Associés, luttez pour la réduction des dépenses publiques, car trop de dépenses publiques c'est trop d'impôts, et contre les gaspillages scandaleux d'argent public !
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