« Sur ces agences, aucune précision n'est apportée pour l'instant. Sur ces agences, aucune précision n'est apportée pour l'instant. Pour rappel, depuis les années 1960, l'Etat français compte un maquis d'opérateurs publics : kyrielles d'agences de sécurité sanitaire, agence pour les économies d'énergie, Agence nationale pour la rénovation urbaine... Chacune est rattachée aux 41 ministères et secrétariats d'Etat. « En 2023, il y aurait 438 opérateurs, 314 commissions diverses et des centaines de structures employant 479 000 agents en équivalent temps plein. Pour un coût total de 76,6 milliards de financements publics (contre 63 milliards en 2021) », dénonce l'association Contribuables Associés qui note dans une étude « des doublons à l'échelle nationale et régionale ».
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Sommaire
Introduction
I. Agences de l’État, mode d’emploi
II. Une jungle administrative
III. Des « machins » sans pilote et aux missions obscures
IV. Une rationalisation s’impose
V. Agences régionales de santé : un échec à la française
VI. Les cabinets de conseils, nouveaux supplétifs de l’État
VII. Le mauvais exemple européen
VIII. Les agences à l’étranger
IX. Un scénario modèle pour la France ?
Annexe. La liste des opérateurs de l'État
Les Agences de l'Eau financent la "Restauration de la Continuité Écologique" en détruisant les retenues d'eau alors qu'on nous annonce que nous allons manquer d'eau. Ces destructions provoquent des assecs mortels pour la faune (poissons migrateurs que la RCE est censée sauver) et la flore riveraine. Je passe sous silence les autres effets collatéraux pourtant non négligeables. Barbara POMPILI, alors Ministre de la Transition Écologique avait démontré les bienfaits de ce dogme devant l'Assemblée Nationale en 2021 lors du vote de la loi sur l'eau, en montrant que l'effacement des seuils des moulins sur les fleuves côtiers de Normandie financés par l'Agence de l'Eau Loire Bretagne, favorisaient le repeuplement en poissons migrateurs. Les effacements ont eu lieu essentiellement en 2016. Les courbes proposées s'arrêtaient en 2016, montrant une évolution légèrement favorable avant. Les portions de courbes, connue, de 2016 à 2020 ont été cachées car elles démontraient au contraire, l'effondrement des populations de migrateurs. De plus, les habitants manquent maintenant d'eau en été, car la recharge des points de pompage n'est plus assurée (on installe l'été en période de crise des barrages provisoires). Malgré cela, en 2024, les Agences de l'eau continuent à financer les destructions, creusant joyeusement la dette.
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