Si elle suscite la polémique depuis plusieurs jours voire plus semaines, la fontaine "féministe" qui doit être installée à Nantes dans le cadre du festival "Le Voyage à Nantes" déborde d’argent public, comme toutes les « œuvres » installées.
Fontaine dite "féministe" car cette sculpture se veut une réponse au Manneken-Pis bruxellois et affirme la possibilité aux femmes, en l’espèce plutôt les petites filles, d’uriner debout comme acte militant…
Organisé chaque été depuis 2012, "Le Voyage à Nantes" vise à organiser tout un ensemble d’événements pour attirer les touristes, et ce le long d’une ligne « verte » depuis 2013, car en 2012, elle était rose…
Mais en plus d’être un festival, "Le Voyage à Nantes" est une SPL, une société publique locale, à vocation touristique et culturelle. C’est une délégation de service public, que Ouest-France présente comme « une pieuvre aux tentacules puissantes »…
Cette SPL gère, par exemple, le château des Ducs de Bretagne, le Mémorial de l'abolition de l'esclavage ou les Machines de l'île.
Mais surtout, elle ne vit que d’argent public et se retrouve souvent dans le rouge ! Depuis 2011, cette structure aurait reçu 120 millions d’euros de subventions – soit 200 euros par habitant de Nantes Métropole –, pour un exercice déficitaire, comme ils le sont tous depuis sa création.
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