C’est pourquoi Ségolène Royal, alors ministre de l’Environnement de François Hollande, décide de promouvoir les routes solaires : un revêtement routier composé de capteurs photovoltaïques, fournissant ainsi de l’électricité.
La première route solaire au monde est inaugurée en 2016 à Tourouvre dans l’Orne.
Un projet porté par Colas, filiale du groupe Bouygues, qui s’avère être un véritable gouffre d’argent public.
En effet, cette route produit deux fois moins d’électricité que prévu, alors qu’elle a coûté 5 millions d’euros à l’État.
D’autres routes solaires sont un échec, comme à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), par manque de soleil…
la route est en cours de demolition pour etre remplacee par une route normale, les capteurs etant deteriores et mal fixes, en plus plusieurs accidents.
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