Qu’est-ce qui est laid, coûteux et inutile ? Non ce n’est pas l’art contemporain. Ce sont les éoliennes. Ajoutons à cela qu’elles se répandent grâce à un savant mélange de démagogie écologiste et de déballage d’argent public, et on obtient une véritable machine infernale.
Si vous êtes assez heureux pour habiter dans la belle campagne française ou sur le littoral, vous êtes susceptible de voir votre environnement colonisé par ces immenses pales métalliques, qui, au passage, dégagent plus de deux fois plus de CO2 par kilowattheure qu’une centrale nucléaire (un chiffre toujours bon à avoir en tête pour dépassionner le débat).
Que pouvez-vous faire pour empêcher un projet d’éolienne de voir le jour ? Le Figaro a produit de très bonnes idées pour s’en prémunir. Le plan d’action tient en trois mots : cohésion, information et recours aux élus.
Cohésion parce que seul vous n’arriverez à rien : il faut monter une association avec les autres habitants concernés et entrer en contact avec d’autres associations engagées pour la même cause.
Information pour vous et pour les autres : vous devez tout connaitre du projet de construction, depuis son emplacement jusqu’aux protections environnementales, en passant par le producteur et les conclusions de l’étude d’impact.
A charge ensuite de participer à l’enquête publique et d’organiser des réunions publiques, des relais médiatiques dans la presse locale et des tractages pour informer les autres riverains de ce qui les menace.
Et enfin un recours aux élus peut être nécessaire : d’abord en alertant votre député, à votre sénateur et à vos conseillers régionaux, puis en écrivant au préfet pour contester l’autorisation préfectoral.
Plusieurs arguments peuvent être invoqués : « les nuisances trop fortes imposées aux riverains (les éoliennes font du bruit et clignotent de jour comme de nuit), l’atteinte portée à la qualité des paysages ruraux, la présence d’un monument historique (…), le fait que le procureur ait omis de faire une demande de dérogation officielle concernant la dérogation d’espèces protégées, ou que son projet n’est tout simplement par rentable », en particulier si la force des vents est inférieure à celle avancée par le promoteur.
Un recours contentieux peut également être déposé.
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