Paris, le 18 mars 2021
Entre 200 et 400 milliards d’euros, c’est ce qu’a coûté depuis 40 ans la politique de la ville. Pour quels résultats ? Violences urbaines, paupérisation de la population de certains quartiers, trafic de drogues, délinquance et insécurité grandissantes…
La situation semble aujourd’hui échapper à tout contrôle, au point que l’État part à la reconquête de 60 territoires perdus de la République. Les risques de laisser la situation pourrir sont immenses : perte de l’autorité de l’État, rupture de la cohésion nationale et tout simplement reniement de notre souveraineté.
Notre pays se transforme en un champ de bataille entre bandes rivales. En l’espace d’un mois, des dizaines de très jeunes adolescents sont morts sous les yeux de citoyens effarés et impuissants. Nos femmes et hommes politiques crient au loup, mais trop tard. C’est dans ce contexte explosif, à la veille des grandes échéance électorales de 2022, que Contribuables Associés a réalisé un dossier thématique intitulé :
« Politique de la ville : 40 ans d’échec payés par les Français… »
Cette étude met en perspective les moyens déployés et résultats obtenus dans tous les domaines de la politique de la ville, véritable tonneau des Danaïdes dont ne sort que toujours plus de ghettos, plus de peurs et … moins d’autorité républicaine.
Pour Jean-Baptiste Léon, directeur des publications de Contribuables Associés, « la politique de la ville est un désastre national financé par les Français. Il est urgent d’acter cet échec, de changer les pratiques et enfin prendre les bonnes décisions avant que la situation ne devienne irrécupérable ».
Contribuables Associés, première association de contribuables de France – apolitique, non partisane et non subventionnée -, est engagée depuis 1990 contre l’excès de dépenses publiques et d’impôts.
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