2% des films sont rentabilisés grâce à leur exploitation en salle, Un tiers d’entre eux totalisant moins de 20 000 entrées. A quoi bon l’exception culturelle si elle débouche sur la production de films aux scenarii bâclés, si mauvais, que seules les guichetières et les punaises de lits en train de se répandre dans les salles obscures sont concernées par leur diffusion ?
Films d’auteur sans public. Les contribuables paient pour des œuvres qu’ils désertent. Trop de films, trop d’argent public.