“En pleine crise du logement, les hauts fonctionnaires se prélassent dans leurs palais à loyer modéré !”
→ Le directeur de la bibliothèque de l’Arsenal, rattaché à la Bibliothèque nationale de France, est logé dans un appartement de 230 m² en plein cœur du Marais… pour un loyer mensuel de 500 euros : à Paris, c’est le prix d’un 10 m² !
→ Selon l’Inspection générale des finances, la valeur locative des 137 000 logements de fonction représente 1,4 milliard d’euros. Mais l’État n’encaisse que... 30 MILLIONS d’euros de loyers.
→ Certains privilégiés ne s’embarrassent pas d’un loyer : Serge Dorny, l’ex-directeur général de l’Opéra de Lyon, passait 70% de ses nuits dans des hôtels 5 étoiles et des Relais & Châteaux. Quand on gagne 291 000 euros par an, on prend goût à la vie deluxe2 ! Il y a pire.
Entre 2017 et 2020, le cabinet d’Annick Girardin, ex-ministre de l’Outre-Mer, a dépensé près de 730 000 € en frais de bouche… soit 1 000 € par mois et par tête3 !
Pour un haut fonctionnaire, la Grande Bouffe ne coûte pas cher… vu que c’est le contribuable qui règle la note !
Selon un rapport officiel de 2015 sur la très haute fonction publique4 :
Ils sont près de 22 000.
Ils sont diplômés de l’ENA, de Normale Sup’ ou de Polytechnique.
Ils sont plus de 1000 à être mieux payés que le Président de la République.
Comme le raconte l’industriel Paul-Antoine Martin5, qui a fréquenté la très haute fonction publique pendant plus de 15 ans :
« Cette petite élite est passée de la très noble tâche de “servir”, à “se servir pour mieux asservir”. »
Vous trimez toute la semaine pour un salaire dérisoire. Ensuite, la facture d’énergie vous tombe dessus.
Ainsi que la TVA, la CSG, pour certains la taxe foncière.
Alors que vous croyez pouvoir enfin respirer, l’impôt sur le revenu vient vous achever.
Pendant ce temps, la haute fonction publique continue de se gaver de privilèges payés par votre argent.
Avec une inflation à 6% par mois, les Français voient leur pouvoir d’achat fondre comme neige au soleil.
Cela ne gêne pas les seigneurs de l’État !
C’est l’opulence pour eux et le serrage de ceinture pour vous !
Voitures de fonction, logements, frais de bouche, indemnités opaques : c’est vous qui payez et personne d’autre !
La France de 2023, c’est la nouvelle cour du Roi-Soleil.
« Les fonctionnaires sont un petit peu comme les livres d’une bibliothèque. Ce sont les plus hauts placés qui servent le moins. »
GEORGES CLEMENCEAU
→ Président du Conseil départemental et en même temps administrateur civil « hors-classe ». Double emploi pour Hervé Gaymard, ex-Ministre de l’Économie sous Chirac… et double salaire ! Total ? 11 629 €6.
Comment est-il possible d’occuper 2 postes à temps plein ? Mystère !
→ Combien y a-t-il d’ambassadeurs sans ambassade pour représenter la France à l’international ? Plus de 10%.
On appelle ça un « ambassadeur thématique », comme Delphine O, qui est à la fois ambassadrice et secrétaire générale de la conférence mondiale de l’ONU sur les femmes. (Accessoirement, elle est aussi la sœur de l’ancien secrétaire d’État au numérique.)
Cette mission à l’intérêt plus que douteux coûte 186 000 € chaque année au contribuable, en salaire et en personnel mis à disposition.
Au total, ces « ambassadeurs volants » coûtent plus de 4 millions d’euros chaque année, alors qu’ils « ne rendent pas suffisamment compte de leur travail »7.
→ Après les ambassadeurs sans ambassade, il y a les préfets sans préfectures : ce sont les « préfets hors cadre ».
En 2020, ils étaient 131 préfets à rester les mains dans les poches, occupant des fonctions floues pour un salaire moyen de 8 000 euros net (sans les primes !)8.
C'est une planque bien pratique pour les hommes politiques.
Entre copains, on se nomme dans des sinécures généreuses financées par le pognon du contribuable : c’est le fait du prince.
→ Archiviste, c’est un travail à 150 km/h ! En tout, si l’on en croit les 47 640 € de frais de taxi d’Agnès Saal, l’ex-présidente de l’INA… Alors qu’elle bénéficiait déjà d’une voiture de fonction avec chauffeur !
Condamnée pour détournements de fonds publics, cela n’a pas empêché Agnès Saal d’être recasée 2 ans plus tard au ministère de la Culture…
…puis d’être promue dans la foulée haut fonctionnaire à l’égalité, à la diversité et à la prévention des discriminations !
→ À chaque élection, c’est la fièvre du recasage : quand un ministère va changer de main, on nomme les copains aux postes les plus juteux, pour ne pas perdre son accès à la gamelle.
Sur le point de perdre son ministère, Marisol Touraine (ministre de la Santé) avait en 2016 recasé de force son collaborateur, inspecteur des finances, au poste de numéro 2 d’un institut de lutte contre le cancer, en court-circuitant ainsi un candidat véritablement qualifié9.
Alors que les infirmières travaillent sans compter leurs heures…
Alors que les commissariats tombent en ruine…
Alors que l’armée n’a que 3 jours de munitions en stock…
→ Le Graal des privilégiés, c’est l’emploi à vie : même s’il n’a aucune mission, un haut fonctionnaire continue d’être payé et de bénéficier des largesses de sa caste jusqu’à sa retraite.
Un rapport de la Cour des comptes10 avait même révélé l’existence de « fonctionnaires-fantômes » payés malgré une inactivité DE 25 ANS !
→ Selon le journaliste Vincent Jauvert, parmi les hauts fonctionnaires les mieux payés, certains le sont plus que le Président de la République. Parfois 3x plus. Grâce aux primes et aux indemnités en tout genre, certains gagnent plus de 140% de leur salaire de base11 !
→ On comprend pourquoi le ministère de l’Économie organise un tel matraquage fiscal quand on voit les salaires de ses fonctionnaires, comme le trésorier-payeur général d’Île-de-France, qui gagnait 21 298 € par mois en 2015.
→ Les nababs de Bercy sont payés + 30% que leurs homologues des autres ministères, ils raffolent des primes illégales et pratiquent une omerta digne de la mafia. Un ministre de l’Économie avait jadis demandé la liste des 250 agents les mieux rémunérés de son ministère, il l’a reçue…
…après 6 mois d’attente, et sur une feuille de papier chimiquement impossible à photocopier12.
La haute fonction publique est pire qu’un « État dans l’État » : c’est une mafia dans l’État ! C’est le règne du copinage, de l’opacité et de l’omerta.
Cela fait des décennies que les hauts fonctionnaires ont adopté une véritable stratégie de prédation de l’argent public.
Malgré leur palmarès désastreux, les hauts fonctionnaires sont inamovibles :
• La politique de la ville, c’est le tonneau des Danaïdes qui coûte 10 milliards d’euros par an au contribuable. Malgré des résultats tout simplement inexistants, pas un seul seigneur de la fonction publique n’a jamais eu a à rendre aucun compte sur ce désastre.
• Charles Prats a épinglé les 2,6 millions de cartes Vitale frauduleuses et les 14 milliards qu’elles coûtent à la Sécurité Sociale. Alors que les chiffres ont été confirmés par la Cour des Comptes en mai 2023… aucun haut fonctionnaire n’a été sanctionné !
Les hauts fonctionnaires sont-ils vraiment au service de l’État…
… ou est-ce plutôt l’État qui est au service des hauts fonctionnaires ?
Combien de temps encore le contribuable français va-t-il devoir payer le train de vie de ces bureaucrates parasites ? Nous devons les stopper net, sinon ce sera jusqu’à la fin des temps !
La France de 2023, c’est le gouvernement des hauts fonctionnaires, par les hauts fonctionnaires, pour les hauts fonctionnaires.
La haute fonction publique se comporte comme une clique de barons voleurs.
Comme dirait Macron, elle nous coûte « un pognon de dingue » !
Il est temps de lui montrer qu’elle n’est pas invincible.
Il est temps de lui faire entendre la colère du contribuable.
Il est temps de mener une contre-offensive décisive.
Ça a trop duré ! Maintenant, c’est fini !
La situation économique actuelle est catastrophique pour les Français, qui sont à bout.
Le gouvernement est en minorité à l’Assemblée.
Pour survivre, Emmanuel Macron doit prouver sa volonté de défendre les Français. C’est le moment idéal pour frapper.
L’État a oublié qu’il est à notre service ? Aidons-le à retrouver la mémoire ! Ce coup d’arrêt n’est pas seulement nécessaire – il est possible.
En 30 ans, mon équipe et moi-même avons accumulé une force de frappe de premier plan :
→ Plus de 2 millions de signataires à nos pétitions : nous sommes une force qui est bien décidée à ne pas se laisser faire.
→ Nos revendications sont portées jusqu’au plus haut sommet de l’État : Elisabeth Borne a reçu dernièrement sur son bureau notre exigence de supprimer les agences inutiles de l’État, qui coûtent 100 milliards d’euros au contribuable chaque année. Et ce n’est qu’un exemple de nos activités !
→ Des projets de loi couronnés de victoire, comme la suppression de la réserve parlementaire en 2017, qui a fait économiser des millions d’euros au contribuable.
Alors signez dès maintenant notre PÉTITION en cliquant ici. Elle sera directement adressée à Emmanuel Macron pour dire STOP et demander la suppression de tous ces avantages DÉLIRANTS !
Chaque signature est un poids supplémentaire – c’est peut-être la vôtre qui fera pencher la balance !
Vous faites partie des centaines de milliers de Français qui ont reçu cette lettre. Je vous demande solennellement d’y répondre.
Cette campagne a un coût élevé : s’il vous plaît, aidez-moi à la financer en joignant à votre PÉTITION votre DON le plus généreux possible à Contribuables Associés.
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Je vous remercie du fond du cœur pour votre fidélité.